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Ces opérations font désormais parties du quotidien des agriculteurs et ne sont plus réservées aux grandes exploitations agricoles. Dès lors, l’AgriTech bouscule aujourd’hui l’agriculture dite « traditionnelle ».
En témoigne l’engouement général pour le Salon international de l’agriculture clôturé le 3 mars dernier et notamment pour l’espace Agri 4.0 dédié à l’AgriTech, l’utilisation du numérique est bel et bien perçue par les professionnels comme l’avenir du secteur primaire. Ces nouvelles technologies ainsi que la démocratisation de l’accès aux données agricoles permettent de passer d’un « modèle de production intensive à une agriculture de précision » : plus besoin de pulvériser un champs en masse de manière préventive, il s’agit désormais de pulvériser au bon moment, sur la parcelle qui le nécessite. « L’utilisation du numérique accélère la transition agroécologique », explique Véronique Bellon-Maurel, directrice du département écotechnologies de l’Institut national de recherche en sciences et technologies pour l’environnement et l’agriculture (Irstea) et directrice de l’institut consacré à l’agriculture numérique #DigitAg. L’AgriTech permet de produire autrement, elle semble pouvoir être un vecteur de performance économique mais également environnemental.
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