Notre équipe de journalistes confronte ses points de vue sur un sujet majeur. Nous vous invitons à retrouver dans nos dossiers des éclairages diverses et des analyses précises sur des domaines ciblés.
Ces dernières années, la montée dans de nombreux pays dont la France de mouvements contestataires refusant de se placer sous l’autorité d’un chef questionne la notion de leadership
Née de l’expérimentation et du terrain, la libération de l’entreprise propose un nouveau mode d’organisation et un nouveau système de management privilégiant l’initiative, le collectif et l’agilité.
Comment rompre avec la traditionnelle et sclérosante structure pyramidale de l’entreprise ? L’holacratie, venue d’Amérique, montre le chemin avec une méthodologie maison qui redistribue le pouvoir au sein des organisations.
Inutile d’opposer l’humain et l’algorithme dans le choix d’un collaborateur. Les deux ont leur place : l’IA permet de ne pas s’arrêter au CV, et le RH investit davantage dans la relation et l’émotion qui échappent à la machine.
Acteur de la révolution numérique, le groupe Orange fait partie de ces entreprises qui ont très tôt intégré une démarche et des outils digitaux dans la gestion de leurs ressources humaines.
L’engouement pour les outils numériques appliqués aux ressources humaines ne doit pas faire oublier que la technologie n’est pas une fin en soi. À l’heure du digital, dans RH, c’est le H d’humain qu’il faut retenir.
La transition numérique en cours dans les entreprises et son corollaire, la croissance des questions de cybersécurité accroissent la demande de professionnels alors que l’offre ne suit pas.
Mises à l’écart des mouvements de protestation citoyens, les organisations syndicales françaises n’ont plus la confiance des salariés. Comment redynamiser et moderniser le dialogue social ?
C’est l’OCDE qui le dit : non seulement la France enregistre des performances médiocres en matière de développement des compétences, mais elle accuse des retards dans l’utilisation des compétences disponibles.
La distorsion entre offre et demande ne se réglera qu’au prix d’une action conjointe sur trois grands leviers : la formation, le statut du travail et l’attractivité des emplois.
Professeur à l’ESCP Europe et auteur de "L’entreprise libérée" (Fayard, 2017), Isaac Getz revient sur un mouvement particulièrement actif en France qu’il a contribué à théoriser : la libération de l’entreprise.
"Notre mission : garantir l’indépendance financière de la maison, indispensable pour conserver la structure familiale du capital et pérenniser cette stratégie à long-terme"
Les chercheurs Dan Cable et Freek Vermeulen de la London Business School plaident contre l’utilisation de la rémunération au rendement pour motiver les cadres supérieurs.
Accélération des technologies, accélération des rythmes de vies, instabilité professionnelle, récurrence accentuée de changement de postes ou d’entreprises, prises de décisions de dirigeants sans vision long-terme … le court-termisme semble être symptomatique de notre époque.
L’idée de "l’entreprise à mission" est de permettre aux sociétés d’allier mission sociétale et rentabilité en prenant en compte les intérêts de toutes leurs parties prenantes (salariés, clients, fournisseurs, ONG, collectivités…).
Les prévisions de résultats trimestriels attiraient souvent l’attention de façon malsaine sur les bénéfices à court-terme au détriment de la stratégie, de la croissance et de la pérennité sur le long-terme.
Face à l’incessante pression du court-terme, l’entreprise n’aurait-elle pas intérêt à redécouvrir les mérites du temps long ? Une projection vers l’avenir souvent garante de pérennité, de sens mais aussi de rentabilité.
Dans un contexte de chômage de masse, les difficultés de recrutement que peuvent rencontrer les entreprises résonnent comme un paradoxe, sinon une aberration.
Le pays compte environ 3 fois plus d’apprentis qu’en France et un taux de chômage des jeunes 3 fois moindre, le mode de formation semble donc offrir une garantie solide contre le risque de chômage.
Le Parlement français a définitivement adopté, mercredi 1er août 2018, par un ultime vote de l’Assemblée nationale, ce que l’exécutif entend être l’acte II de la "rénovation du modèle social".
Vecteur de transmission du savoir depuis des siècles, le rôle central de l'apprentissage est la longue histoire d’un vœu pieux malmené par le temps et des politiques contradictoires.
Pour les helvètes, le système éducatif est fondé tout entier sur un principe : apprendre un métier au plus grand nombre.
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